Le 26 juin dernier, Nicolas Sarkozy a fait son entrée dans une affaire judiciaire brésilienne. Discrètement. À travers une phrase sibylline prononcée par l’ancien ministre des finances et ancien bras droit de Lula da Silva, Antonio Palocci, lors d’une audition devant les juges brésiliens. Mais cette phrase est une petite bombe.
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