Marmaris (sud-ouest de la Turquie) et Athènes (Grèce).– Samedi 31 octobre, une heure du matin. Le patrouilleur 101, de l’unité des gardes-côtes de Marmaris, dans le sud-ouest de la Turquie, file à fond de train sur une mer houleuse. Le commandement central, à Ankara, vient d’informer le personnel local de la présence d’embarcations de migrants en perdition au large de Kizilburun, une langue de terre turque inhabitée et inhospitalière proche de l’île grecque de Symi.
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