Jusqu’alors, Vincent Bolloré semblait intouchable. Il ne l’est plus tout à fait. Mardi 24 avril, l’homme d’affaires a été placé en garde en vue dans les locaux de la police judiciaire à Nanterre, ainsi que plusieurs des cadres du groupe, dans le cadre d’une information judiciaire ouverte pour « corruption d’agents publics étrangers et trafic d’influence », portant notamment sur les conditions d’attribution de concession de deux ports, l’un à Lomé (Togo), l’autre à Conakry (Guinée) en 2009 et 2010.
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