« Cas Armando Ferrao Carvalho et autres. » Il y a encore quelques heures, ce patronyme était celui d’un inconnu. Pourtant dans les cinq ou dix prochaines années, le nom de cet exploitant forestier portugais qui a perdu ses trois plantations de chênes durant les feux de forêt de 2017 va désigner l’un des cas les plus emblématiques de la justice climatique en Europe. Avec neuf autres familles et une association suédoise, il a déposé jeudi à Luxembourg le premier recours climatique européen devant le Tribunal de l’Union.
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« Cas Armando Ferrao Carvalho et autres. » Il y a encore quelques heures, ce patronyme était celui d’un inconnu. Pourtant dans les cinq ou dix prochaines années, le nom de cet exploitant forestier portugais qui a perdu ses trois plantations de chênes durant les feux de forêt de 2017 va désigner l’un des cas les plus emblématiques de la justice climatique en Europe. Avec neuf autres familles et une association suédoise, il a déposé jeudi à Luxembourg le premier recours climatique européen devant le Tribunal de l’Union.
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