Au dernier jour du marathon électoral indien, dimanche 19 mai, alors que les candidats et le monde politique du sous-continent étaient censés observer une trêve, le premier ministre sortant, Narendra Modi, 68 ans, qui brigue un deuxième mandat, trouva le moyen de faire parler de lui en prenant de la hauteur. Son silence devint étourdissant par la seule grâce, répercutée à travers le pays, de son humble présence au pied de l’Himalaya, dans un temple hindou, Kedarnath, haut lieu de pèlerinage, où il médita médiatiquement.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous