C’est déjà trop tard pour 2018, et « si les États-Unis continuent sur cette voie, ils risquent de laisser leurs élections devenir la Coupe du monde de la guerre de l'information, dans laquelle adversaires et alliés des États-Unis se battent pour imposer leurs divers intérêts à l'électorat américain ». L’alerte, signée d’un ancien responsable de la sécurité de Facebook, Alex Stamos, suggère aux autorités américaines de prendre la menace au sérieux – une menace qui combine propagande sur les réseaux sociaux et manipulations technologiques, deux risques contre lesquels l’administration américaine est selon lui pour l’instant mal outillée, voire impuissante.
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.
C’est déjà trop tard pour 2018, et « si les États-Unis continuent sur cette voie, ils risquent de laisser leurs élections devenir la Coupe du monde de la guerre de l'information, dans laquelle adversaires et alliés des États-Unis se battent pour imposer leurs divers intérêts à l'électorat américain ». L’alerte, signée d’un ancien responsable de la sécurité de Facebook, Alex Stamos, suggère aux autorités américaines de prendre la menace au sérieux – une menace qui combine propagande sur les réseaux sociaux et manipulations technologiques, deux risques contre lesquels l’administration américaine est selon lui pour l’instant mal outillée, voire impuissante.
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous