C’est une course contre la montre presque impossible à gagner : maintenir, d’ici 2100, le réchauffement planétaire en dessous du seuil critique de 2 °C supplémentaires par rapport à la température moyenne de l’ère pré-industrielle. Cette limite est considérée comme une barrière de sécurité à ne pas franchir. Au-dessus de 2 °C de réchauffement, les recherches montrent que le changement climatique deviendrait très dangereux, avec une forte montée du niveau des mers et des risques de plus en plus élevés d’inondations, de sécheresses, de tempêtes et d’intempéries. L’objectif de respecter la limite des 2 °C constitue un enjeu majeur de la COP21, le sommet de Paris qui s’ouvre le 30 novembre. Mais les calculs des scientifiques montrent que les chances d’y parvenir sont désormais infimes.
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.
C’est une course contre la montre presque impossible à gagner : maintenir, d’ici 2100, le réchauffement planétaire en dessous du seuil critique de 2 °C supplémentaires par rapport à la température moyenne de l’ère pré-industrielle. Cette limite est considérée comme une barrière de sécurité à ne pas franchir. Au-dessus de 2 °C de réchauffement, les recherches montrent que le changement climatique deviendrait très dangereux, avec une forte montée du niveau des mers et des risques de plus en plus élevés d’inondations, de sécheresses, de tempêtes et d’intempéries. L’objectif de respecter la limite des 2 °C constitue un enjeu majeur de la COP21, le sommet de Paris qui s’ouvre le 30 novembre. Mais les calculs des scientifiques montrent que les chances d’y parvenir sont désormais infimes.
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous