Est-ce la brusque accélération de la pandémie au Royaume-Uni et l’apparition d’une nouvelle souche du SARS-CoV-2 qui ont convaincu Boris Johnson, dans les derniers instants, de lâcher du lest, pour ne pas rajouter du chaos au chaos ? Faut-il y voir le résultat d’un volontarisme jusque-là insoupçonné d’Ursula von der Leyen, la présidente allemande de la Commission européenne, désireuse de décrocher une première victoire politique d’importance depuis son arrivée, il y a un an ?
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.
Est-ce la brusque accélération de la pandémie au Royaume-Uni et l’apparition d’une nouvelle souche du SARS-CoV-2 qui ont convaincu Boris Johnson, dans les derniers instants, de lâcher du lest, pour ne pas rajouter du chaos au chaos ? Faut-il y voir le résultat d’un volontarisme jusque-là insoupçonné d’Ursula von der Leyen, la présidente allemande de la Commission européenne, désireuse de décrocher une première victoire politique d’importance depuis son arrivée, il y a un an ?
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous