« C’était une guerre juste, mais je présente maintenant mes excuses », a déclaré Cesare Battisti au procureur adjoint Alberto Nobili, lors deux auditions réalisées, samedi 23 et dimanche 24 mars, au centre pénitentiaire d’Oristano, en Sardaigne. Trois mois après son interpellation en Bolivie et sa remise à l’Italie, l’ancien membre des Prolétaires armés pour le communisme (PAC) a finalement reconnu sa responsabilité dans les crimes – quatre homicides – pour lesquels il a été condamné à perpétuité en Italie, comme auteur direct, commanditaire ou complice.
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