Zittau (Allemagne), de notre envoyé spécial.– Des petits grenadiers de plomb qui attendent sagement l’ordre de bataille sous une couche de poussière, quelques maquettes d’avions militaires à la peinture écaillée ainsi qu’une lourde statuette argentée de l’aigle polonais. Tout cela est posé en désordre entre les piles de dossiers, sur les meubles sombres et rustiques du bureau de Jörg Domsgen, au deuxième étage d’une villa qui a connu des jours meilleurs.
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