Berlin (Allemagne), de notre correspondant.- Outre-Rhin, l’heure n’est pas à la détente sur le front de la lutte contre l’extrême droite. Certes, les représentants politiques de l’extrême droite européenne ont accumulé les contre-performances ces derniers mois. La Française Le Pen, le Hollandais Wilders ou l’Autrichien Hofer ont été battus aux élections. Quant aux Allemands de l’AfD, la fin de la phase aiguë de la crise des réfugiés et leur choix d’une orientation plus radicale leur font perdre des électeurs. Les intentions de vote en leur faveur pour les législatives de septembre ont été divisées par deux en peu de temps, de 14 % à 7 %.
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Berlin (Allemagne), de notre correspondant.- Outre-Rhin, l’heure n’est pas à la détente sur le front de la lutte contre l’extrême droite. Certes, les représentants politiques de l’extrême droite européenne ont accumulé les contre-performances ces derniers mois. La Française Le Pen, le Hollandais Wilders ou l’Autrichien Hofer ont été battus aux élections. Quant aux Allemands de l’AfD, la fin de la phase aiguë de la crise des réfugiés et leur choix d’une orientation plus radicale leur font perdre des électeurs. Les intentions de vote en leur faveur pour les législatives de septembre ont été divisées par deux en peu de temps, de 14 % à 7 %.
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