Brutalités policières et racisme, le cocktail qui mène à la mort de Sandra Bland
L’affaire Sandra Bland, ou comment un contrôle routier dégénère et une jeune Afro-Américaine décède en cellule trois jours après son arrestation. Retour sur ce fait divers et ses zones d’ombre, suscitant une nouvelle vague de colère et d’indignation aux États-Unis.
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En un an, il y eut la mort de Mike Brown à Ferguson dans le Missouri, l’étranglement d’Eric Garner par des policiers new-yorkais à Staten Island, ou encore le décès de Freddie Gray des suites de son arrestation par des officiers de Baltimore. Voilà désormais l’affaire Sandra Bland, dernière en date à venir alimenter le débat sur les brutalités policières à l’égard des Afro-Américains et plus largement sur le racisme institutionnel qui frappe encore la société américaine.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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