International Entretien

Maroc: «Il faut une évolution démocratique de ce régime»

Au Maroc, le mouvement de contestation ne touche pas que les étudiants ou les diplômés-chômeurs. Pour l’homme d’affaires marocain Karim Tazi, qui soutient les dizaines de milliers de manifestants du 20 février, les Marocains demandent aujourd'hui une véritable séparation des pouvoirs.

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Au Maroc, le mouvement de contestation ne touche pas que les étudiants ou les diplômés-chômeurs. PDG du groupe marocain d'ameublement Richbond, militant associatif, Karim Tazi s'est également engagé dans un mouvement qui a vu des dizaines de milliers de Marocains (35.000, selon le ministère de l'intérieur, plus de 300.000, selon les organisateurs) entamer une marche le 20 février 2011.

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Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

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