Assis au rez-de-chaussée du centre d’accueil fermé dans lequel il réside depuis six mois, S.* enchaîne les cigarettes et soupire. « Je me sens encore un peu en prison ici, je ne suis pas libre. Mais c’est quand même mieux que la prison égyptienne ! » plaisante-t-il (lire notre Boîte noire à la fin de cet article).
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Assis au rez-de-chaussée du centre d’accueil fermé dans lequel il réside depuis six mois, S.* enchaîne les cigarettes et soupire. « Je me sens encore un peu en prison ici, je ne suis pas libre. Mais c’est quand même mieux que la prison égyptienne ! » plaisante-t-il (lire notre Boîte noire à la fin de cet article).
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