C’est un texte qui n’a pas fini de faire parler de lui : les États membres de l’Union européenne ont deux ans pour transcrire dans leur législation nationale la directive « droit d’auteur » adoptée mardi par le parlement de l’UE (par 348 voix pour, 274 contre et 36 abstentions). À plus brève échéance, c’est le soutien des États membres qui peut encore être refusé lors du conseil du 9 avril prochain. Un dernier espoir pour les opposants, auquel s’accroche la députée allemande Julia Reda, qui a fait de la directive le combat de sa mandature et regrette « un jour noir pour Internet ».
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