« On m’a envoyé à Djedda ces dernières années pour travailler sur des frégates de la marine militaire saoudienne. » Ingénieur, Guillaume a passé plusieurs mois dans le principal port du pays, côté mer Rouge. « C’est une drôle de vie. Tu passes ton temps entre un luxueux compound avec piscine, les bouchons et le boulot sur le chantier où tu retapes des bâtiments de guerre. » Quentin, un autre technicien, a lui aussi officié sur ce chantier de rénovation de navires de fabrication française, livrés il y a des années aux forces saoudiennes : « Beaucoup de choses sont assez choquantes en Arabie saoudite. L’argent coule à flots… Notamment pour rénover ces bateaux, qui étaient dans un état déplorable. »
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.
« On m’a envoyé à Djedda ces dernières années pour travailler sur des frégates de la marine militaire saoudienne. » Ingénieur, Guillaume a passé plusieurs mois dans le principal port du pays, côté mer Rouge. « C’est une drôle de vie. Tu passes ton temps entre un luxueux compound avec piscine, les bouchons et le boulot sur le chantier où tu retapes des bâtiments de guerre. » Quentin, un autre technicien, a lui aussi officié sur ce chantier de rénovation de navires de fabrication française, livrés il y a des années aux forces saoudiennes : « Beaucoup de choses sont assez choquantes en Arabie saoudite. L’argent coule à flots… Notamment pour rénover ces bateaux, qui étaient dans un état déplorable. »
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous