Moscou, de notre correspondant.– Au vrai, Ilia Chatiline s’attendait à ce qu’on lui annonce sa positivité au Covid-19. À peine rentré d’Espagne début mars, sa température et son mal-être général grimpaient en flèche. Rapidement, il se décidait à alerter les urgences locales. « Suite à un test à l’hôpital, ils m’ont finalement annoncé que j’avais… une grippe porcine ! », s’amuse presque cet entrepreneur de 39 ans basé à Saint-Pétersbourg. « Quelques jours plus tard, j’ai vu un autre patient de l’hôpital dire sur Facebook qu’on lui avait fait le même diagnostic. » Et s’il était là, le secret des étonnantes statistiques russes face à l’épidémie ?
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Moscou, de notre correspondant.– Au vrai, Ilia Chatiline s’attendait à ce qu’on lui annonce sa positivité au Covid-19. À peine rentré d’Espagne début mars, sa température et son mal-être général grimpaient en flèche. Rapidement, il se décidait à alerter les urgences locales. « Suite à un test à l’hôpital, ils m’ont finalement annoncé que j’avais… une grippe porcine ! », s’amuse presque cet entrepreneur de 39 ans basé à Saint-Pétersbourg. « Quelques jours plus tard, j’ai vu un autre patient de l’hôpital dire sur Facebook qu’on lui avait fait le même diagnostic. » Et s’il était là, le secret des étonnantes statistiques russes face à l’épidémie ?
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