Le 25 mai dernier, Abdallah Jaber panique sur une chaîne de télé de Tel-Aviv. « La réponse des supporters palestiniens a été brutale. Les gens sont devenus fous, ils sont vraiment devenus fous. » Durant deux jours, ce footballeur arabo-israélien a reçu un flot incessant de messages insultants. Son tort ? Avoir signé pour l’Hapoel Hadera, un club d’élite du championnat israélien, alors qu’il est un des joueurs phare de la sélection palestinienne. Le défenseur a été de facto exclu de l’équipe nationale, la fédération palestinienne interdisant à tout sélectionné de participer aux ligues israéliennes.
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.
Le 25 mai dernier, Abdallah Jaber panique sur une chaîne de télé de Tel-Aviv. « La réponse des supporters palestiniens a été brutale. Les gens sont devenus fous, ils sont vraiment devenus fous. » Durant deux jours, ce footballeur arabo-israélien a reçu un flot incessant de messages insultants. Son tort ? Avoir signé pour l’Hapoel Hadera, un club d’élite du championnat israélien, alors qu’il est un des joueurs phare de la sélection palestinienne. Le défenseur a été de facto exclu de l’équipe nationale, la fédération palestinienne interdisant à tout sélectionné de participer aux ligues israéliennes.
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous