José Eduardo dos Santos a le sens de la famille. Après 38 ans de règne sans partage à la tête du premier pays producteur de pétrole d’Afrique, le président angolais s’apprête à passer la main à son ministre de la défense, Joao Lourenço, qui a sans surprise, selon des résultats provisoires, remporté l’élection présidentielle du 23 août, malgré les accusations de fraude de l’opposition. Mais avant de tirer sa révérence, l’autocrate Dos Santos a tenu à faire un dernier présent à sa fille préférée, Isabel. Un immense cadeau cousu d’or et de béton.
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