C’est une banderole comme il y en a eu beaucoup pendant une semaine place du Châtelet. C’est pourtant une banderole qui résume à elle seule la discorde en cours. Mardi 8 octobre, les militants d’Extinction Rebellion (XR) qui occupent une place du centre de Paris déploient, au passage du cortège funèbre des quatre policiers tués à la préfecture de police de Paris, une banderole avec le texte suivant : « Uni·e·s contre toutes les violences. » Pour ces militants adeptes de la non-violence, il s’agit de dire que les violences policières comme les violences contre les policiers sont également condamnables.
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C’est une banderole comme il y en a eu beaucoup pendant une semaine place du Châtelet. C’est pourtant une banderole qui résume à elle seule la discorde en cours. Mardi 8 octobre, les militants d’Extinction Rebellion (XR) qui occupent une place du centre de Paris déploient, au passage du cortège funèbre des quatre policiers tués à la préfecture de police de Paris, une banderole avec le texte suivant : « Uni·e·s contre toutes les violences. » Pour ces militants adeptes de la non-violence, il s’agit de dire que les violences policières comme les violences contre les policiers sont également condamnables.
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