Contre Wikileaks, Google a collaboré avec la justice américaine
Lundi 26 janvier, Baltasar Garzón, qui coordonne la défense de Wikileaks et de son co-fondateur Julian Assange, était à Genève pour dénoncer « un terrifiant précédent pour les libertés de la presse dans le monde entier ». Le moteur de recherche a avoué avoir transmis des données de membres de Wikileaks à la justice américaine.
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GenèveGenève, de notre correspondante.- Alors que Julian Assange vit depuis le 18 août 2012 reclus à l’ambassade d’Équateur à Londres, visé par un mandat d’arrêt émis par des magistrats suédois dans une affaire d’agression sexuelle, et menacé d’extradition vers les États-Unis pour espionnage s’il quitte les lieux, c’est désormais un autre scandale aux contours encore flous qui se profile.