À deux semaines d’élections législatives israéliennes particulièrement ouvertes dans lesquelles Benjamin Netanyahou ne joue pas seulement son fauteuil de premier ministre mais également sa liberté, les événements susceptibles de faire basculer le vote s’enchaînent en accéléré et sont tous interprétés à l’aune du scrutin du 9 avril.
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À deux semaines d’élections législatives israéliennes particulièrement ouvertes dans lesquelles Benjamin Netanyahou ne joue pas seulement son fauteuil de premier ministre mais également sa liberté, les événements susceptibles de faire basculer le vote s’enchaînent en accéléré et sont tous interprétés à l’aune du scrutin du 9 avril.
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