Certains compromis entre ambassadeurs très urbains sont des capitulations en rase campagne. Sous la pression de Matteo Salvini (vice-premier ministre italien), les représentants des pays de l’Union européenne sont tombés d’accord, mercredi 27 mars, pour retirer de Méditerranée, au moins temporairement, tous leurs navires militaires susceptibles de porter secours aux migrants dans le cadre de l’opération militaire dite « Sophia ».
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.
Certains compromis entre ambassadeurs très urbains sont des capitulations en rase campagne. Sous la pression de Matteo Salvini (vice-premier ministre italien), les représentants des pays de l’Union européenne sont tombés d’accord, mercredi 27 mars, pour retirer de Méditerranée, au moins temporairement, tous leurs navires militaires susceptibles de porter secours aux migrants dans le cadre de l’opération militaire dite « Sophia ».
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous