C’est un courrier qui engage la France dans un dossier africain très sensible sous tous les angles : politique, diplomatique et judiciaire. Dans une lettre officielle obtenue par Mediapart, la présidence de la République française a pris fait et cause pour le président du Gabon, Ali Bongo, dans l’affaire de son état civil, objet de vives tensions à Libreville à l’approche de l’élection présidentielle du 27 août prochain.
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C’est un courrier qui engage la France dans un dossier africain très sensible sous tous les angles : politique, diplomatique et judiciaire. Dans une lettre officielle obtenue par Mediapart, la présidence de la République française a pris fait et cause pour le président du Gabon, Ali Bongo, dans l’affaire de son état civil, objet de vives tensions à Libreville à l’approche de l’élection présidentielle du 27 août prochain.
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