Proche et Moyen-Orient

Irak, l’élite assassinée

Les meurtres d’un intellectuel de renom et de plusieurs activistes perpétrés par des commandos de tueurs provoquent la fuite des universitaires, chercheurs et journalistes. Le nouveau premier ministre n’ose pas désigner les assassins. Principal suspect, la milice pro-iranienne Kataëb Hezbollah.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Le 6 juillet, les tueurs attendaient Hisham al-Hachemi devant chez lui, à Bagdad. À voir une vidéo de surveillance, on découvre que son assassinat relève d’une véritable opération commando menée par des tueurs à moto, avec des pistolets munis de silencieux, qui n’ont laissé aucune chance à la victime. Le chercheur se savait menacé par certaines des milices qu’il ne cessait de dénoncer pour leur légendaire corruption et parce qu’ils ont fait main basse sur l’État. Mais il avait refusé toute protection policière, sachant sans doute qu’elle serait illusoire.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA

Aujourd’hui sur Mediapart

Voir la Une du Journal

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA