Vienne (Autriche), correspondance.–« J’en ai pleuré de joie ! Enfin ! Enfin, on m’a donné raison ! » Après huit mois d’attente, Alper Yilmaz pousse un soupir de soulagement. Ce citoyen autrichien d’origine turque a reçu, mardi 22 janvier, un courriel l’informant de la fin des poursuites à son encontre, mettant ainsi un terme à la menace qui pesait sur lui : perdre sa nationalité autrichienne. La conséquence d’une décision de la Cour constitutionnelle, qui a annulé en décembre dernier un vaste programme de déchéance de nationalité initié par le FPÖ, le parti d’extrême droite au pouvoir en Autriche au sein d’une coalition avec les conservateurs.
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Vienne (Autriche), correspondance.– « J’en ai pleuré de joie ! Enfin ! Enfin, on m’a donné raison ! » Après huit mois d’attente, Alper Yilmaz pousse un soupir de soulagement. Ce citoyen autrichien d’origine turque a reçu, mardi 22 janvier, un courriel l’informant de la fin des poursuites à son encontre, mettant ainsi un terme à la menace qui pesait sur lui : perdre sa nationalité autrichienne. La conséquence d’une décision de la Cour constitutionnelle, qui a annulé en décembre dernier un vaste programme de déchéance de nationalité initié par le FPÖ, le parti d’extrême droite au pouvoir en Autriche au sein d’une coalition avec les conservateurs.
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