Après un sommet de l’OTAN et un autre du G7 apparemment très difficiles pour Angela Merkel, cette dernière a pris acte de l’impossibilité pour l’Europe de compter désormais sur la vieille alliance avec les États-Unis. Dimanche, de retour en Allemagne, à Munich, dans une réunion du parti bavarois CSU, elle a estimé que « les temps où nous pouvions entièrement nous reposer sur les autres sont en partie derrière nous, c’est ce que j’ai ressenti au cours de ces derniers jours ». Et de conclure : « Nous, Européens, devons prendre notre destin en mains. » Une déclaration qui a été justement perçue, en Allemagne comme aux États-Unis, comme un changement d’ère dans les relations transatlantiques.
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Après un sommet de l’OTAN et un autre du G7 apparemment très difficiles pour Angela Merkel, cette dernière a pris acte de l’impossibilité pour l’Europe de compter désormais sur la vieille alliance avec les États-Unis. Dimanche, de retour en Allemagne, à Munich, dans une réunion du parti bavarois CSU, elle a estimé que « les temps où nous pouvions entièrement nous reposer sur les autres sont en partie derrière nous, c’est ce que j’ai ressenti au cours de ces derniers jours ». Et de conclure : « Nous, Européens, devons prendre notre destin en mains. » Une déclaration qui a été justement perçue, en Allemagne comme aux États-Unis, comme un changement d’ère dans les relations transatlantiques.
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