C'est non. Une heure à peine après la parution d'une lettre de Julian Assange dans Le Monde, dans laquelle le fondateur de Wikileaks enfermé dans l'ambassade d'Équateur à Londres demandait l'asile à la France, un communiqué lapidaire de l'Élysée est arrivé ce vendredi 3 juillet dans les rédactions.
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