Dix ans plus tard, le spectre de l’invasion de l’Irak continue de planer au-dessus des discussions actuelles sur le déclenchement (ou pas) de frappes militaires contre la Syrie. La « scène primitive » de Colin Powell brandissant, le 5 février 2003 dans l’enceinte des Nations unies, une fiole, sur fond d’images satellites et d’enregistrements de conversations téléphoniques a fait sa réapparition ces derniers jours dans les journaux (un peu) et les commentaires (beaucoup, y compris sur Mediapart).
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Dix ans plus tard, le spectre de l’invasion de l’Irak continue de planer au-dessus des discussions actuelles sur le déclenchement (ou pas) de frappes militaires contre la Syrie. La « scène primitive » de Colin Powell brandissant, le 5 février 2003 dans l’enceinte des Nations unies, une fiole, sur fond d’images satellites et d’enregistrements de conversations téléphoniques a fait sa réapparition ces derniers jours dans les journaux (un peu) et les commentaires (beaucoup, y compris sur Mediapart).
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