Les plus grandes enquêtes commencent souvent par une petite découverte, une intuition. En 2011, Olivier van Beemen, journaliste néerlandais, est envoyé en Tunisie par son journal Het Financieele Dagblad, pour couvrir la chute de Ben Ali. Le journaliste découvre sur place que Heineken, deuxième plus grand brasseur du monde, a des liens avec le dictateur mais qu’il ment à ce sujet. « Si Heineken mentait ici avec tant d’acharnement, que devait-il en être dans des pays au régime controversé ou au climat économique difficile » ?
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.
Les plus grandes enquêtes commencent souvent par une petite découverte, une intuition. En 2011, Olivier van Beemen, journaliste néerlandais, est envoyé en Tunisie par son journal Het Financieele Dagblad, pour couvrir la chute de Ben Ali. Le journaliste découvre sur place que Heineken, deuxième plus grand brasseur du monde, a des liens avec le dictateur mais qu’il ment à ce sujet. « Si Heineken mentait ici avec tant d’acharnement, que devait-il en être dans des pays au régime controversé ou au climat économique difficile » ?
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous