De notre envoyé spécial à Londres (Grande-Bretagne).- Paula Peters est assise par terre, les fesses sur le trottoir, et elle écrit des slogans au feutre sur des caleçons. À côté d’elle, son fauteuil roulant, avec lequel elle est venue jusqu’ici, dans la grande banlieue du nord-est londonien. Nous sommes un samedi d’avril, dix jours avant l’élection britannique du 7 mai, dans la circonscription de Iain Duncan Smith, le ministre conservateur du travail et des pensions, qui est sans conteste l’un des hommes les moins populaires du Royaume, en dehors de son clan des Tories, dont il fut le leader au début des années 2000. Une vingtaine de manifestants se sont rassemblés devant le siège de sa permanence pour dénoncer l’homme qu’ils appellent, au choix, « le maître du désastre » ou « le boucher des allocations ».
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De notre envoyé spécial à Londres (Grande-Bretagne).- Paula Peters est assise par terre, les fesses sur le trottoir, et elle écrit des slogans au feutre sur des caleçons. À côté d’elle, son fauteuil roulant, avec lequel elle est venue jusqu’ici, dans la grande banlieue du nord-est londonien. Nous sommes un samedi d’avril, dix jours avant l’élection britannique du 7 mai, dans la circonscription de Iain Duncan Smith, le ministre conservateur du travail et des pensions, qui est sans conteste l’un des hommes les moins populaires du Royaume, en dehors de son clan des Tories, dont il fut le leader au début des années 2000. Une vingtaine de manifestants se sont rassemblés devant le siège de sa permanence pour dénoncer l’homme qu’ils appellent, au choix, « le maître du désastre » ou « le boucher des allocations ».
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