« Vous voudriez bien le croire, mais non, ce n’est pas un excès de zèle de la justice. Ce n’est pas une architecture institutionnelle qui ne fonctionne pas, ce n’est pas non plus que le roi est mal entouré. C’est juste le fonctionnement normal et naturel d’une dictature. » Omar Radi est journaliste dans un pays qui goûte peu la liberté de la presse : le Maroc. Comme de très nombreux Marocains, il a exprimé sans détour sa colère et sa stupeur sur les réseaux sociaux après le verdict prononcé dans la nuit du mardi 27 au mercredi 28 juin à l’encontre des militants du hirak du Rif, ce mouvement social qui a secoué la région du Rif en 2016 et 2017, d’une ampleur inédite en 18 ans de règne de Mohammed VI.
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« Vous voudriez bien le croire, mais non, ce n’est pas un excès de zèle de la justice. Ce n’est pas une architecture institutionnelle qui ne fonctionne pas, ce n’est pas non plus que le roi est mal entouré. C’est juste le fonctionnement normal et naturel d’une dictature. » Omar Radi est journaliste dans un pays qui goûte peu la liberté de la presse : le Maroc. Comme de très nombreux Marocains, il a exprimé sans détour sa colère et sa stupeur sur les réseaux sociaux après le verdict prononcé dans la nuit du mardi 27 au mercredi 28 juin à l’encontre des militants du hirak du Rif, ce mouvement social qui a secoué la région du Rif en 2016 et 2017, d’une ampleur inédite en 18 ans de règne de Mohammed VI.
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