Berlin (Allemagne), de notre correspondant.– Au Bundestag, elle dirige le groupe de Die Linke, la cinquième force de l’hémicycle, derrière les libéraux et l’extrême droite de l’AfD. Figure des gauches contestataires en Allemagne, Sahra Wagenknecht, née en 1969, économiste de formation, dévoile dans un entretien à Mediapart les contours du mouvement qu’elle s’apprête à lancer en septembre, sur le calque des Insoumis français, et assume ses désaccords stratégiques avec une partie de Die Linke. « Les plus pauvres ne votent plus à gauche parce que la gauche a de plus en plus négligé la parole et le dialogue avec eux », s’indigne Wagenknecht, qui prend aussi ses distances, à moins d’un an des élections européennes, avec le mouvement de Yanis Varoufakis.
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Berlin (Allemagne), de notre correspondant.– Au Bundestag, elle dirige le groupe de Die Linke, la cinquième force de l’hémicycle, derrière les libéraux et l’extrême droite de l’AfD. Figure des gauches contestataires en Allemagne, Sahra Wagenknecht, née en 1969, économiste de formation, dévoile dans un entretien à Mediapart les contours du mouvement qu’elle s’apprête à lancer en septembre, sur le calque des Insoumis français, et assume ses désaccords stratégiques avec une partie de Die Linke. « Les plus pauvres ne votent plus à gauche parce que la gauche a de plus en plus négligé la parole et le dialogue avec eux », s’indigne Wagenknecht, qui prend aussi ses distances, à moins d’un an des élections européennes, avec le mouvement de Yanis Varoufakis.
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