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  • L’enseignement après cinq ans de sarkozysme

    L’enseignement après cinq ans de sarkozysme

    Suppression de postes d'enseignants et d'auxiliaires, changement dans la formation des maîtres, suppression de la carte scolaire... après cinq années de réformes tambour battant, l'école sort de l’ère Sarkozy étrillée, humiliée et plus tout à fait sûre de son rôle dans la société.

    Prix : 3 € TTC

  • Dexia, enquête sur une faillite d’Etat

    Par
    Dexia, enquête sur une faillite d’Etat

    En trois ans, la banque franco-belge a perdu plus de 18 milliards d'euros, autant que le Crédit lyonnais ! Et l’addition finale n’est pas arrêtée. Mais qui en parle ? Retour sur le cas d’école de Dexia, symbole de la gestion de la crise financière par la France et l’Europe.

    Prix : 3 € TTC

  • Le programme

    Le programme

    Le 6 mai 2012, ce n’est pas le pouvoir mais un mandat que les électeurs ont confié à François Hollande: celui de rebâtir un pays plus juste et plus égalitaire après cinq ans de sarkozysme. Entre les deux options qui restaient au second tour, ils ont choisi un projet clair, sinon incontestable, et un calendrier de mesures d’urgences annoncé dès la campagne électorale. Avec les législatives qui suivent et le basculement sénatorial qui a précédé, cette équation se complique en prenant en compte ce que sera la coalition majoritaire.

    En publiant le projet socialiste, le programme présidentiel et l'agenda de la première année, analysés et critiqués par la rédaction de Mediapart, nous proposons un mode d’emploi de ces engagements à l’usage des citoyens vigilants.

    Prix : 3 € TTC

  • Cette UMP qui penche vers l’extrême droite

    Cette UMP qui penche vers l’extrême droite

    L’élection présidentielle de 2012 aura été l’aboutissement de la stratégie électorale consistant, pour la droite “classique” au pouvoir, à aller chercher systématiquement l’électeur et l’agenda politique du côté de l’extrême droite, jusqu’a reprendre les thèmes, la rhétorique et finalement les solutions avancées par le Front national. L’idée n’est pas nouvelle : elle a été formulée au sein même du FN dès les années 1980. L’expérience non plus, puisque le Mouvement pour la France de Philippe de Villiers a longtemps servi de rabatteur et de sas entre l’UMP et la nébuleuse extrêmiste. Mais jamais sous la Ve République, avant ce quinquennat, les positions et les mots de la “droite nationale” n’avait été installé au cœur du pouvoir, à l’Elysée. Sans exclusive, certes, car d’autres sensibilités, plus républicaines, ont travaillé ce pouvoir, mais clairement omniprésent.

    Le buissoncope est le trombinoscope de ceux qui ont instillé ce fiel au sein de la droite de gouvernement.

    Prix : 3 € TTC

  • Think tanks, la bataille des idées pour 2012

    Think tanks, la bataille des idées pour 2012

    En France, on n'a jamais vraiment réussi à traduire le terme de “think tank”. Sans doute parce que leur réalité a du mal à prendre dans le système politique français, où ils demeurent des modèles réduits de ce qui existe de l'autre côté du Rhin, de l'Atlantique ou de la Manche. Pourtant, élection présidentielle de 2012, quelque chose bouge du côté des boîtes à idées.

    Prix : 3 € TTC

  • Les sept péchés capitaux du sarkozysme

    Les sept péchés capitaux du sarkozysme

    Mediapart revisite les moments clés de la présidence Sarkozy. Ou plutôt, les sept péchés qui auront fait de cette présidence une caricature de tous les travers de la Ve République et de son présidentialisme. Un président cerné par les affaires (la gourmandise), en échec sur le pouvoir d’achat (l’avarice), au vernis culturel démenti chaque jour (la paresse), au service des riches (la luxure) et à l’ego surdimensionné (l’orgueil). Un président qui n’a pas retenu les leçons de ses échecs diplomatiques (la colère) et qui est prêt à diffuser les idées de l’extrême droite pour garder le pouvoir (l’envie).

    Prix : 3 € TTC

  • FN, le contre-argumentaire de Mediapart

    FN, le contre-argumentaire de Mediapart

    Il faut malheureusement prendre au sérieux le Front national et sa candidate, Marine Le Pen. Solidement installé depuis un quart de siècle, ce parti d'extrême droite a encore surpris au soir du 22 avril. Proposition par proposition, nous vous présentons son décryptage ainsi que notre contre-argumentaire. En vingt fiches techniques, comment dire “Non” au FN.

    Prix : 3 € TTC

  • La dette : la gauche française face à la crise grecque

    La dette : la gauche française face à la crise grecque

    En juin 2011, alors que le parlement grec dominé par le Mouvement socialiste panhellénique (Pasok) venait d’adopter son deuxième plan d’austérité, Mediapart a décidé d’interroger les composantes de la gauche française – partisane ou mouvementiste – sur la crise de la dette souveraine en Europe. A l’époque, Eva Joly est l’une des candidates de la primaire écologiste, Aurélie Trouvé, coprésidente d'Attac, vient d’échouer à la tête du FMI, Michel Sapin est chargé d'élaborer le programme du candidat François Hollande, Pierre Laurent, secrétaire général du PCF, est étroitement associé à la campagne du candidat du Front de gauche, Jean-Luc Mélenchon, Henri Emmanuelli incarne l’aile gauche du Parti socialiste tandis que Cédric Durand, contributeur à la revue Contretemps (proche du NPA), fait partie du collectif des économistes atterrés.

    Première question : « Vous êtes député au Parlement grec. Auriez-vous voté le nouveau plan d’austérité, ou rejoint les indignés à l’extérieur de l’Assemblée ? »

    Prix : 3 € TTC

  • Yes He Could, les déçus d'Obama

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    Yes He Could, les déçus d'Obama

    Le 6 novembre 2012, Barack Obama se présentera pour un second mandat. Mais en quatre ans, la vague populaire qui l’avait porté au pouvoir a largement reflué. L’usure du pouvoir, l’épreuve de la crise économique, l’attrait émoussé de la nouveauté. En 2008, Obama avait obtenu les voix de 66 % des jeunes, un record ; aujourd’hui, ce sont les mêmes qui manifestent devant Wall Street et accusent le président américain de les avoir trahis. A l'époque, certains écologistes s’attendaient à une révolution verte; à la fin du mandat, ils en veulent au président qui a laissé tomber tant de promesses. Il y a quatre ans, 56 % des femmes – et 70 % des femmes célibataires – avaient voté pour lui ; désormais les associations féministes en viennent à regretter que Hillary Clinton n’ait pas eu sa chance en finale alors que les républicains sont repartis à l'attaque des plannings familiaux et du droit à l’avortement. Certes, peu manqueront au candidat démocrate face à la candidature probable du républicain Mitt Romney, mais l’enthousiasme n’y est plus. Paroles d’obamiens déçus...

    Prix : 3 € TTC