Oui, magnifique ! Et puis Alain Cavalier prend toujours tout son temps, avec délicatesse, pour nous faire voir, ses découvertes, pour partager, pour chercher avec le spectateur, le sens. De la peinture au cinéma, de l'écran, du cadrage à la toile. Il traverse le temps des hommes et des femmes. Dans une relation chaleureuse, douce, discrète. Et il termine son film, sa conversation, avec un choix paisible. Une paix qu’il nous offre et qui lui va bien.
Oui, c'est très beau, j'ai beaucoup aimé, c'est un partage qui rayonne et apaise, c'est vrai. Et qui cherche, chez d'autres peintres, dans d'autres regards, l'écho de cette lumière silencieuse.
Je suis déçu. Peut être ce film est une oeuvre d'art cinématographique. Une sorte de meta-oeuvre sur la peinture auquel cas je ne suis pas sensible. On dirait que le cinéaste n'a rien à dire. Seuls passages intéressants, ceux qui mettent en perspective des éléments de la peinture de La tour avec d'autres peintres.
C'est très beau et la proximité ressentie avec les peintures que suscitent les images du documentaire est tout à la fois surprenante et naturelle. Les peintures de Georges de La Tour et les images d'Alain Cavalier partagent un même temps avec harmonie car on ne les distingue plus. Merci.
J'ai mis en réserve votre billet pour y revenir :-) Je pense à Alain Cavalier et son admirable peinture, dans les moindres détails d'objets usuels sur lesquels le cinéaste se penchait comme devant de minuscules mystères, dans les plus prosaïques actes de Thérèse, la petite sainte de Lisieux, et Georges de La Tour me paraît un autre beau modèle...
C'est beau, et c'est plutôt cool d'être ainsi pris par la main, cependant je m'attendais à un plus grand développement sur les torches les bougeoirs les étincelles les halos les veilleuses en fait tout ce qui fait qu'il est avant tout pour moi un peintre de la lumière du dedans...
Bravo, c’est splendide et émouvant!