C’était un an avant #MeToo, un été caniculaire. Dans son appartement à Toulouse, l’écrivaine et poétesse algérienne Souad Labbize s’attelait à expurger par l’écriture un drame enfoui dans les limbes familiaux, le meurtre de sa grand-mère maternelle, enceinte de neuf mois, par son grand-père, dans l’Algérie colonisée des années 1940. C’est l’indiscrétion d’une tante qui lui avait ouvert les yeux à 51 ans sur ce qu’il fallait appeler un féminicide.
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C’était un an avant #MeToo, un été caniculaire. Dans son appartement à Toulouse, l’écrivaine et poétesse algérienne Souad Labbize s’attelait à expurger par l’écriture un drame enfoui dans les limbes familiaux, le meurtre de sa grand-mère maternelle, enceinte de neuf mois, par son grand-père, dans l’Algérie colonisée des années 1940. C’est l’indiscrétion d’une tante qui lui avait ouvert les yeux à 51 ans sur ce qu’il fallait appeler un féminicide.
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