Pour l’historienne Karima Dirèche, spécialiste du Maghreb, directrice de recherches au CNRS, le référendum sur la révision constitutionnelle, prévu dimanche 1er novembre en Algérie, n’est qu’une opération «cosmétique » : « C’est du maquillage. Les vieux réflexes autoritaires et répressifs se sont réenclenchés durablement. Tout reste bloqué. »
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Pour l’historienne Karima Dirèche, spécialiste du Maghreb, directrice de recherches au CNRS, le référendum sur la révision constitutionnelle, prévu dimanche 1er novembre en Algérie, n’est qu’une opération « cosmétique » : « C’est du maquillage. Les vieux réflexes autoritaires et répressifs se sont réenclenchés durablement. Tout reste bloqué. »
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