- Portfolios
- 12 photos
Cleveland dans la folie des républicains
Retour en images sur une semaine qui a vu la ville de l’Ohio, où les républicains ont officiellement désigné leur candidat après une semaine de convention, vivre à l’heure Donald Trump.
La lecture des articles est réservée aux abonnés.
© REUTERS
« LA LOI ET L'ORDRE ». Jeudi 21 juillet, dans un discours final aux accents sombres, Trump a dressé un tableau noir de l’Amérique. « Les attaques sur nos policiers, le terrorisme dans nos villes, menacent notre manière de vivre. » Il a décrit une économie en panne, un pays « humilié » sur la scène internationale par Barack Obama et Hillary Clinton, son ancienne secrétaire d’État. Et promis de restaurer « la loi et l’ordre ». L’expression, répétée quatre fois, rappelle la campagne victorieuse de Richard Nixon en 1968, qui employait alors le même ton inquiétant. Donald Trump a rappelé avoir reçu « 14 millions de votes » à la primaire républicaine, « le plus grand nombre de l’histoire » du parti. Mais il n’a pas montré de signe d’ouverture particulier envers des pans entiers de l’électorat qui se méfient de lui : les femmes, y compris républicaines, les Latinos, les Noirs et les diplômés. À partir de lundi, c’est au tour des démocrates de tenir leur convention, à Philadelphie, Pennsylvanie : avec l’Ohio, c’est un autre de cette dizaine de « swing states » décisifs qui feront l’élection de novembre.
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous