En hommage à Vanesa Campos, femme transgenre assassinée
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Vanesa Campos, femme transgenre de 36 ans originaire du Pérou, a été sauvagement tuée par plusieurs hommes dans la nuit du 16 au 17 août. C’est au bois de Boulogne, où elle exerçait comme prostituée, que le meurtre a eu lieu. C’est au bois de Boulogne que ce 24 août s’est tenu un rassemblement en sa mémoire, et pour demander justice pour toutes les victimes d’agressions. Lundi, cinq personnes, âgées de 16 à 30 ans, ont été mises en examen et placées en détention provisoire.
«C’est parceque nous sommes ce que nous sommesque nous sommes tuées. Une partie de ceux qui propagent la haine transphobe veut nous tuer, une autre partie veut nous invisibiliser. Nous demandons à être reconnues comme des êtres humains et à exercer tous nos droits. Nous exigeons également l’abrogation des lois de répression et de criminalisation de la prostitution de 2003 et de 2016 »,explique Ramona, membre de l’association Acceptess-T (association de défense des personnes dont « l’identité de genre est jugée non conforme »).
En juillet 2021, Mediapart révélait un système d’encaissement illégal d’argent liquide au sein du groupe Fnac-Darty. Depuis, quatre directeurs de magasins Darty et un directeur régional ont été mis en examen. Selon de nouveaux documents et témoignages, de nombreux cadres dirigeants du groupe auraient eu connaissance de ces opérations réalisées dans toute la France, au-dessus des seuils légaux.
Un an et demi après le cessez-le-feu, le pays est bloqué, à nouveau divisé entre le camp du maréchal Haftar, à l’est, et le gouvernement reconnu par l’ONU, à l’ouest. À l’instabilité politique s’ajoute une crise sociale alarmante.
Accusé de harcèlement, de sexisme et de recours à la prostitution, le proviseur de l’école française de Bujumbura est toujours en poste, malgré de nombreuses alertes à l’ambassade de France et au ministère des affaires étrangères.
Quatre mois après le début de l’invasion, l’économie ukrainienne est en ruine. Ce qui n’empêche pas le gouvernement de procéder à une destruction méthodique du code du travail.
par
Laurent Geslin
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