Notre émission culturelle se rend au musée Carnavalet pour l’exposition « Marcel Proust, un roman parisien », au Frac Île-de-France pour celle intitulée « Pour la vie », du photographe Bruno Serralongue, et débat sur la manière de rémunérer les artistes d’arts visuels.
La Tate Britain de Londres consacre une exposition éblouissante aux générations d’artistes afro-caribéens arrivés au Royaume-Uni depuis 1948. La plus stimulante des réponses aux politiques migratoires qui fragilisent, depuis 2014, des centaines d’immigrés antillais.
Six anciennes salariées accusent de harcèlement moral la directrice des Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis, Anita Mathieu, dont le mandat s’est étalé sur plus de vingt ans. La justice a donné raison aux plaignantes et à leurs témoignages poignants.
Notre émission culturelle hebdomadaire se rend à la Philharmonie de Paris pour l’exposition « Hip-Hop 360 », au musée Zadkine pour celle intitulée « L’âme primitive » et débat de l’arme du boycott vis-à-vis d’événements culturels et artistiques dont les fonds ou les positions peuvent déplaire.
Notre émission culturelle hebdomadaire est consacrée à trois expositions : « L’abîme. Nantes dans la traite atlantique et l’esclavage colonial (1707-1830) » ; « Sarah Maldoror : cinéma tricontinental » et « Aerodream. Architecture, design et structures gonflables ».
Une exposition à Madrid rassemble une centaine d’œuvres, souvent sublimes, conçues dans les Amériques sous domination espagnole. Une manifestation sur fond d’intenses débats, dans la société espagnole, sur le legs de la « Conquista ».
Notre émission culturelle hebdomadaire se rend à la Maison européenne de la photographie pour la rétrospective Samuel Fosso, au Crédac d’Ivry-sur-Seine pour l’exposition Derek Jarman et décrypte la commande publique « Mondes nouveaux ».
Notre émission culturelle hebdomadaire se rend au musée d’Art moderne de Paris pour l’exposition consacrée à Anni et Josef Albers, au Quai Branly pour « Ultime combat : arts martiaux d’Asie » et décrypte les prix décernés à l’art contemporain français.
Notre émission culturelle hebdomadaire se rend à la Fondation Cartier pour les « Cerisiers en fleurs » de Damien Hirst, au Centre Pompidou pour la rétrospective Georgia O’Keeffe et au musée de Saint-Denis pour l’exposition « Un.e Air.e de famille ».
Alors que plusieurs expositions estivales s’interrogent sur la représentation de l’épidémie, entretien croisé avec Thibault Boulvain, qui publie une somme essentielle sur « l’art en sida », et Antoine Idier, auteur d’un texte incisif sur un artiste français encore méconnu, Michel Journiac.
La présidente du Musée d’Orsay, Laurence des Cars, a été choisie par l’Élysée pour remplacer Jean-Luc Martinez à partir du 1er septembre à la tête du Louvre. Nous republions notre enquête sur la gestion controversée de Jean-Luc Martinez à la tête du musée français.
L’événement était attendu : François Pinault ouvre, ce samedi 22 mai, les portes de la Bourse de commerce où il expose une partie de sa collection. Mediapart a visité ce lieu remarquablement restauré et tâche de saisir les enjeux, pour le marché de l’art contemporain, d’une telle inauguration, qui interroge tout à la fois les phénomènes de privatisation des œuvres et de réappropriation culturelle.
Alors que le monde culturel français demeure dans le flou et prépare une journée de mobilisation ce vendredi, 85 lieux culturels belges ont décidé d’ouvrir leurs portes sans attendre.
La manifestation d’une conscience écologique chez les artistes est ancienne. Mais la manière dont les arts abordent aujourd’hui la question du réchauffement climatique, et l’anxiété qui en découle, tient moins de l’engagement idéologique que de la réaction viscérale.
Alors que le monde artistique poursuit sa mobilisation en appelant le public à le rejoindre, Mediapart a lancé un appel à ses lecteurs et lectrices pour saisir ce que faisaient, aux corps et aux esprits, ces mois de privation culturelle.
Vertement critiquée par la Cour des comptes pour son « immobilisme » et son manque d’« efficacité économique », la Manufacture des Gobelins, fondée sous Louis XIV afin de fabriquer les meubles des palais royaux, se cherche une utilité nouvelle en ce début de XXIe siècle. Une enquête de La Revue du Crieur.