À l’occasion de la sortie en salle de « Mektoub, My Love : canto due », le podcast culturel de Mediapart propose de retraverser une œuvre qui suscite autant d’enthousiasme qu’elle pose de problèmes.
À un mois du départ de sa directrice Céline Kopp, le Magasin, centre d’art contemporain de Grenoble, est déchiré par de nombreux témoignages de souffrance au travail, au point que le syndicat Sud Culture-Solidaires est monté au créneau.
Google affirme que son ordinateur quantique a réalisé un calcul plus rapidement qu’un ordinateur classique. Mais est-ce encore une tactique de communication ou s’approche-t-on enfin d’un réel avantage quantique ? Les enjeux sont potentiellement énormes.
L’autrice, metteuse en scène et performeuse révolutionne le théâtre en partant à l’assaut de toutes les discriminations et dominations qui traversent nos sociétés.
Newsletters
Découvrez les newsletters de Mediapart
Recevez directement l’info de votre choix : Quotidienne, Hebdo, Alerte, À l’air libre, Écologie, Enquête …
À la suite des révélations de Mediapart sur des accusations visant deux comédiens, le ministère a demandé qu’une enquête soit menée par un cabinet indépendant, parallèlement à l’enquête judiciaire de la brigade de protection des mineurs de Paris.
Depuis son arrivée à la tête de cette commune du Pas-de-Calais en 2020, l’extrême droite a opéré une réorientation culturelle aux accents démagogiques. Dernier exemple en date : la mairie a repris en gestion le cinéma d’art et essai de la ville, censurant un documentaire sur Gaza et promouvant le film catholique « Sacré-Cœur ».
Le journaliste français a été condamné à sept ans de prison par la cour d’appel de Tizi Ouzou, en Algérie. Le jugement est contraire aux principes fondamentaux qui, à travers le monde, consacrent le droit de savoir.
Malgré la catastrophe économique qu’elle représente, l’annulation de l’édition 2026 de l’événement a été accueillie avec « soulagement » par les professionnels du secteur, qui réfléchissent à son avenir. Les autrices ont joué un rôle majeur dans la mobilisation. Et permis de mettre fin à un système délétère.
Condamné à sept ans de prison pour « apologie du terrorisme », Christophe Gleizes attend son procès en appel, le 3 décembre à Tizi Ouzou. Son cas illustre le durcissement du régime envers la presse, et une crispation croissante face aux indépendantistes kabyles.
Dans une décision rendue le 27 novembre, le tribunal administratif de Paris a refusé de permettre à l’hebdomadaire de licencier Christophe Nobili. Depuis que ce journaliste a révélé la rémunération cachée de la compagne d’un ex-dessinateur, la direction tente tout ce qu’elle peut pour s’en séparer.
Mediapart révèle que le régulateur des médias avait d’abord estimé n’avoir rien à reprocher à « Complément d’enquête » concernant son émission sur le Sénat. Mais face aux pressions du Palais du Luxembourg et de son président Gérard Larcher, l’Arcom a fini par se déjuger.
La cinéaste Alice Diop proposait fin novembre une lecture performée d’un texte de l’intellectuelle et poétesse africaine-américaine Robin Coste Lewis. L’occasion de revenir sur un travail à la fois protéiforme et cohérent. Entretien.
Le milliardaire Pierre-Édouard Stérin, situé à l’extrême droite de l’échiquier idéologique, tente d’infiltrer le secteur culturel par de nombreux canaux. Comment les professionnels du milieu œuvrent-ils avec ce nouveau type d’acteur ?
Non, la colonisation ne concerne pas que Paris et les grands ports de la traite négrière, mais implique l’ensemble du territoire français. Tel est le message porté par le festival Auvergne (dé)coloniale ?, qui a fait salle comble trois jours durant à Clermont-Ferrand.
La célèbre troupe est visée par une enquête de la brigade de protection des mineurs de Paris. Deux comédiens, qui nient les faits, sont accusés d’y avoir agressé sexuellement des jeunes filles et des femmes pendant au moins quinze ans, selon une enquête de Mediapart. Son emblématique directrice, Ariane Mnouchkine, reconnaît avoir été informée d’accusations dès 2023.
La poétesse gazaouie Hend Jouda, qui vit désormais au Caire, écrit dans « Gaza, Ô ma joie » le malaise généralisé face à la défaite retentissante d’un monde qui ne peut plus échapper au miroir palestinien. Mais aussi la passion amoureuse et les élans du désir inassouvi.