Économie et social

Grèce: la contribution des banques réduite au minimum

Passé les communiqués triomphants, la réalité du sauvetage de la Grèce se découvre tout autre. Les créanciers privés ont veillé à limiter « leur contribution volontaire » à la restructuration de la dette grecque. Selon différentes estimations, l'endettement public serait réduit de 10 à 20% maximum. Pour de nombreux économistes, c'est notoirement insuffisant pour sauver l'économie grecque.

Martine Orange

Les poussières des discours triomphants qui ont suivi l'annonce, jeudi, du nouveau plan de sauvetage de la Grèce, sont retombées. Le décor qui émerge aujourd'hui est radicalement différent de ce qui avait été avancé par les dirigeants européens. Les décisions «courageuses », censées sauver la Grèce et l'euro, sont loin de tenir leurs promesses.

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