Un rapport préconisant d’interdire l’alcool à la buvette de l’Assemblée nationale suscite émoi et colère chez la plupart des députés. Que de l’argent public finance leur consommation, sur leur lieu de travail comme à l’extérieur, leur paraît naturel.
Deux intérimaires dépêchées par Adecco sur son site de Brétigny-sur-Orge, dans l’Essonne, ont été bannies du jour au lendemain pour s’être liées d’amitié avec une déléguée syndicale CGT, une relation étroitement surveillée par l’entreprise. Une plainte a été déposée contre le géant du commerce.
Pendant deux heures, posez toutes vos questions à Antton Rouget sur six ans de chantage, d’homophobie et de pouvoir – et sur le livre à paraître, « Les Comploteurs », qui raconte les coulisses du scandale politique de Saint-Étienne.
Le procès des deux militants d’extrême droite accusés d’avoir assassiné le sportif argentin aura lieu en septembre 2026. Dans un entretien à Mediapart, Cecilia Aramburú pointe la responsabilité des autorités françaises, alors que les deux suspects étaient sous contrôle judiciaire pour des faits de violences aggravées.
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Depuis près d’un an, le Sdis 34 a ouvert une enquête administrative pour des faits de harcèlement et de propos racistes dans la caserne de Gigean, sans qu’aucune sanction soit prise pour le moment. Les pompiers mis en cause invoquent l’humour.
L’enquête pour identifier les policiers qui, en 2018, ont fracassé le crâne de la jeune femme à Marseille prend un virage décisif. Selon nos informations, des agents ont reconnu avoir été présents au moment des violences. L’un d’eux dénonce les pressions de sa hiérarchie et du syndicat Alliance pour couvrir ses collègues. Après ces révélations, deux policiers de la BAC ont été mis en examen le 14 novembre pour non-assistance à personne en danger.
Dans une quarantaine de villes, des militants ont manifesté samedi en criant : « Le déni, c’est fini. » Dans le sillon de l’affaire Bétharram, et dans l’attente d’une loi-cadre contre les violences sexuelles, les cortèges étaient plus fournis que l’an dernier. Reportage à Paris.
Le parquet général avait requis samedi matin treize ans de prison contre le célèbre pénaliste, accusé d’avoir violé une de ses stagiaires en 2018. Ses avocats ont dénoncé « une chasse à l’homme ». Samedi soir, la cour criminelle l’a acquitté au bénéfice du doute.
Mediapart s’apprêtait à faire état de la scolarisation de ses enfants dans le privé, mais le ministre de l’éducation a pris les devants pour l’évoquer sur BFMTV. Il a fait mine d’être surpris par la question alors qu’il était informé en amont. Les dessous d’une opération de communication bien rodée.
Interrogé vendredi par la cour criminelle de Paris, le pénaliste a laissé les juges perplexes quant à l’existence d’un complot qui aurait été ourdi contre sa personne.
L’hypothèse d’un « assassinat d’avertissement » est évoquée par les enquêteurs après le meurtre du frère d’Amine Kessaci, militant politique et associatif engagé depuis quatre ans dans la lutte contre le narcotrafic. À gauche comme à droite, la classe politique fait part de son soutien et de son inquiétude.
À l’issue de son déplacement dans l’archipel, la ministre des outre-mer a annoncé la tenue d’une « consultation » locale sur le projet d’accord de Bougival, pourtant rejeté par le Front de libération nationale kanak et socialiste. Le pouvoir macroniste s’enferre dans sa méthode délétère.
L’ancien député socialiste était jugé pour détournements de fonds publics après avoir employé ses deux filles comme assistantes parlementaires. Deux ans de prison avec sursis probatoire, 40 000 euros d’amende et cinq ans d’inéligibilité ont été requis.
Margaux, la jeune femme qui accuse le ténor du barreau de l’avoir violée alors qu’elle était stagiaire au sein de son cabinet, en 2018, a livré un témoignage très fort, jeudi 13 novembre, à la cour criminelle de Paris.
Selon les informations de Mediapart, contrairement à ce que laisse croire la ville de Paris depuis plusieurs années, l’édile choisit systématiquement la première classe en train et la classe business en avion pour ses déplacements. Contrevenant ainsi aux règles en vigueur pour les élus.
Dix ans après les attentats du 13 novembre 2015, la capitale a rendu hommage aux 130 morts et aux centaines de blessés du pire attentat qui ait frappé la France. De la rue de Charonne au Bataclan et à la place de la République, des milliers de personnes se sont rassemblées pour commémorer et partager.