Violences policières Entretien

Violences policières : «Le déni des autorités est honteux»

Alors que deux morts à la suite d'interpellations ont récemment marqué l'actualité, les collectifs de soutien aux familles de victimes tentent de se faire entendre au niveau national. Un rassemblement a lieu demain à Argenteuil. « Nous sommes très souvent confrontés au déni des autorités, et nous demandons aux politiques ne serait-ce que de s'exprimer sur ce sujet », explique Abdelkarim Aïchi, 38 ans, membre du collectif pour Ali Ziri et porte-parole du Parti des indigènes de la République.

Louise Fessard

Le collectif Vérité et justice pour Ali Ziri, ce retraité algérien de 69 ans, mort asphyxié après son interpellation en juin 2009, organise samedi après-midi un rassemblement à Argenteuil, pour protester contre le non-lieu requis mi-décembre 2011 par le procureur de Pontoise.

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