Culture et idées Vidéo

Voilà 60 ans, le maréchal Staline passait l'arme à gauche

Vidéo réservée aux abonné·es

Enquêtes exclusives, reportages, documentaires, entretiens…

Je m’abonne pour 1€

Résiliable en 3 clics

Se connecter

Le 5 mars 1953, Staline calanchait. La planète sembla frappée de stupeur révérencieuse : « Le maréchal Staline est mort », titrait Le Monde. Retour, irrespectueux, soixante ans après, sur la perte d'un guide funeste que s'étaient laissé imposer tant d'esprits irraisonnés. Vidéo dans l'article.

Antoine Perraud

Le 6 mars 1953, la voix de bronze du speaker Iouri Lévitan, qui avait annoncé l'entrée (forcée) de l'Urss dans la guerre en juin 1941, retentissait à 6 heures du matin, précédée de l'hymne national, lui-même préfiguré par un interminable roulement de tambour : « Le cœur de Joseph Vissarionovitch Staline, compagnon d'armes de Lénine et génial continuateur de son œuvre, guide sagace et éducateur du Parti communiste et du peuple soviétique, a cessé de battre. » La mort remontait à la veille, l'agonie datait de plusieurs jours.

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter