Le dirigeant israélien s’est exprimé vendredi à New York, s’enfonçant dans sa logique génocidaire. En face, Paris exprime son désaccord avec des mots choisis, sans sanctions ni changement de ton. La résurgence d’un inconfort diplomatique ancien à l’égard de l’allié israélien.
James Comey avait été limogé lors du précédent mandat de Donald Trump, alors que l’agence enquêtait sur d’éventuelles ingérences russes dans la campagne 2016 du candidat républicain. Il est poursuivi pour fausse déclaration et entrave à la justice. « Je n’ai pas peur », réplique Comey.
Le journaliste et traducteur Ibrahim Badra décrit les ravages commis par les robots explosifs de l’armée israélienne dans sa conquête de la ville de Gaza. « Un chantage sans début ni fin, sans intrigue ni logique. »
Douze bateaux sur la cinquantaine qui se dirigent vers l’enclave palestinienne ont été touchés par des tirs de drones dans la nuit de mardi à mercredi. « Ces 48 prochaines heures vont être critiques », alerte l’eurodéputée Emma Fourreau, tandis que Madrid et Rome envoient des navires les assister.
Newsletters
Découvrez les newsletters de Mediapart
Recevez directement l’info de votre choix : Quotidienne, Hebdo, Alerte, À l’air libre, Écologie, Enquête …
À l’Assemblée générale, l’ex-djihadiste devenu chef d’État a demandé la levée complète des sanctions qui pèsent encore sur la Syrie et s’est présenté comme le garant d’une politique étrangère d’apaisement, à l’opposé de celle des Assad.
Le président des États-Unis a brutalement changé de discours sur l’Ukraine, mardi, assurant que Kyiv était en capacité de gagner la guerre. Mais cette sortie fracassante ressemble aussi et surtout à une manière de préparer sa sortie, après des mois d’efforts vains pour contraindre Moscou à un cessez-le-feu.
Comment mettre fin à l’occupation israélienne ? Après la reconnaissance de la Palestine par la France et le Royaume-Uni notamment, des voix palestiniennes mettent en doute la solution à deux États, et rêvent d’autres modèles.
À l’invitation de l’ambassade d’Israël en France, cinq titres de presse français se sont rendus au mois de juillet dans le pays, tous frais payés, pour écouter des hauts gradés de l’armée récuser la responsabilité israélienne dans la famine à Gaza. Seuls deux médias ont pris soin de préciser le cadre de leur reportage.
À quelques jours de la rencontre entre Donald Trump et Benyamin Nétanyahou, les négociations sur l’avenir de Gaza prennent un tournant stratégique. Soit les pays arabes convainquent les États-Unis de se rallier à un plan de paix, soit l’entreprise destructrice menée par Israël pourra arriver à ses fins.
En quête de nouveaux modèles, une partie de la presse française a jeté son dévolu sur la première ministre italienne. En construisant le mythe d’une Giorgia Meloni en pleine réussite économique et en effaçant son héritage post-fasciste, elle encourage la bascule vers l’extrême droite.
Plusieurs réseaux de désinformation liés à Moscou ont fait converger leurs efforts, depuis avril, vers la Moldavie, qui oscille entre un ancrage résolu dans l’UE ou un retour à des relations soutenues avec Moscou. Leur objectif : influencer les législatives du 28 septembre.
La gestion violente du président libertarien n’a pas réussi à redresser le pays. Depuis son arrivée au pouvoir, la chute du peso a atteint 75 % face au dollar. À un mois des élections législatives, l’Argentine s’en remet à Donald Trump pour sauver son bilan économique.
En deux semaines, l’influenceur états-unien d’extrême droite assassiné est devenu le martyr des droites mondiales. Qui était-il vraiment ? Comment sa mort a-t-elle été instrumentalisée par l’extrême droite ? Notre émission, avec Cole Stangler, Sylvie Laurent et Fabien Escalona.
Le Royaume-Uni a reconnu l’État de Palestine un peu plus d’un siècle après en être devenu la puissance mandataire. L’historien Henry Laurens revient sur son bilan puis sur son progressif effacement diplomatique, et pointe les motivations intérieures du premier ministre britannique.
De « grands » drones ont été repérés lundi soir au-dessus de l’aéroport de Copenhague, entraînant sa fermeture provisoire ainsi que celle de l’aéroport d’Oslo. La première ministre danoise dénonce « la plus grave attaque contre une infrastructure critique ».
Devant l’Assemblée générale des Nations unies, Emmanuel Macron a confirmé sa décision et esquissé les contours d’une hypothétique paix au Proche-Orient. Des mots applaudis mais suspendus, minés par l’hostilité américaine et israélienne.