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Véronique Ovaldé présente trois autres femmes puissantes

Véronique Ovaldé bâtit depuis près de dix ans une œuvre à part, volontairement décalée, des contes qui relèveraient d'une forme allégée de réalisme magique, encore plus magiques du coup. Avec Ce que je sais de Vera Candida, elle fait le portrait de trois femmes libres, des amazones. Entretien vidéo, extrait et lecture par l'auteur.

Sylvain Bourmeau

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Imaginez du réalisme magique light, sans les insupportables fioritures : ça reste tout aussi magique et ça s'appelle du Ovaldé. Depuis près de dix ans et Le Sommeil des poissons, Véronique Ovaldé invente un monde ou plutôt des mondes qui se ressemblent, et dont seules les tonalités, les palettes varient d'un roman (Les hommes en général me plaisent beaucoup) à l'autre (Et mon cœur transparent). C'est qu'à chaque fois, il faut tout imaginer de zéro, tout décaler dans un univers parallèle, avec toujours, pourtant, un merveilleux souci de méticuleuse cohérence.

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