France

Malgré des faux, la justice refuse d'être prise en défaut

L'administration pénitentiaire reconnaît avoir grossièrement trafiqué la demande de mise en liberté d'un détenu. La Cour de cassation n'a pas pour autant jugé que celui-ci devait être libéré. Explications.

Michaël Hajdenberg

Plutôt que d'avouer des fautes, la justice préfère parfois couvrir des erreurs: Rhalid Alouache affirme en être la preuve. Cet homme de 30 ans est toujours détenu à la maison d'arrêt de Luynes alors que selon son avocat, Thomas Bidnic, il devrait aujourd'hui dormir dehors.

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