La Conférence nationale des présidents de tribunaux de grande instance a profité de ces vœux mercredi 4 janvier pour exprimer son grand désarroi. Les présidents des TGI voient « s'achever une année 2011 éprouvante qui restera sans doute parmi les plus difficiles supportées par nos juridictions depuis bien longtemps ».(function() { var scribd = document.createElement("script"); scribd.type = "text/javascript"; scribd.async = true; scribd.src="http://www.scribd.com/javascripts/embed_code/inject.js"; var s = document.getElementsByTagName("script")[0]; s.parentNode.insertBefore(scribd, s); })();
LaLa Conférence nationale des présidents de tribunaux de grande instance a profité de ces vœux mercredi 4 janvier pour exprimer son grand désarroi. Les présidents des TGI voient « s'achever une année 2011 éprouvante qui restera sans doute parmi les plus difficiles supportées par nos juridictions depuis bien longtemps ». Les vœux qui ont été prononcés par le président du TGI de Lyon, Paul-André Breton, président de la conférence, donnent froid dans le dos. Il parle de « souffrance généralisée chez les acteurs de terrains, magistrats et fonctionnaires… notre tâche d'administration et d'animation devient impossible…l'exercice de nos fonctions se limite de plus en plus à la gestion d'une pénurie dramatique de moyens ». Les présidents de TGI profitent de l'occasion pour passer un mot aux responsables politiques, pour que l'année 2012 « ne soit pas l'occasion d'une nouvelle avalanche de textes dictée par des considérations électorales…(et) que les budgets annoncés soient effectivement alloués et non amputés en cours d'année ».