Notre dossier : réflexions sur la corruption Parti pris

«Vie privée» des politiques et écran de fumée

L’indifférence des Français aux escapades « sentimentales » des princes qui les gouvernent est le pendant de leur tolérance à l’égard de la corruption de la classe politique. C’est la marque d’un profond et récurrent déficit démocratique.

Philippe Riès

L’indifférence des Français, attestée par les sondages, aux escapades « sentimentales » des princes qui les gouvernent est le pendant de leur tolérance, illustrée par leurs votes, à l’égard de la corruption de la classe politique. Qu’elle soit individuelle ou institutionnelle, active ou passive, qu’elle relève du népotisme ou du clientélisme. C’est la marque d’un profond et récurrent déficit démocratique. 

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